danse
On dirait que le soleil
Mylène Benoit | Cie Contour Progressif
MA 12 ME 13 MAI
MA 12 MAI 20:00 Naturellement accessible aux personnes malentendantes et sourdes Naturellement accessible aux personnes malvoyantes et aveugles
ME 13 MAI 19:00 Naturellement accessible aux personnes malentendantes et sourdes Naturellement accessible aux personnes malvoyantes et aveugles
infos / tarifs
Tarif B
1h
crédits
conception et chorégraphie Mylène Benoit
interprétation 3 interprètes (distribution en cours)
regard extérieur, dramaturgie Alexandre da Silva
musique Nicolas Devos (Puce moment / Cercueil)
création lumière Juliette Romens
Reprise informatique, régie des aveuglants Xavier Boissarie, Tomek Jarolim, (orbe).
Direction du travail vocal Myriam Djemour.
Régie générale Joris Valet.
Expertise handicap et inclusion Thomas Tajo, chercheur aveugle et activiste sur le handicap, fondateur de vision inclusive, spécialiste de l’écholocalisation (BE).
Administration, direction de production Naia Iratchet.
Production Contour progressif.
Coproduction le Phénix scène nationale Valenciennes, Théâtre du Beauvaisis scène nationale Beauvais, le Gymnase, CDCN Roubaix (sollicité), les Quinconces et l’Espal scène nationale Le Mans, le Sew Morlaix, la Rose des Vents scène nationale Villeneuve d’Ascq. Soutenu par lieux culturels pluridisciplinaires (Lille) (sollicité), Aéronef scène de musiques actuelles (Lille) (confirmé), International Visual Theatre (sollicité), Fondation Handicap Malakoff Humanis (sollicitation à venir), la Matmut (sollicité). Résidence Triple arts et sciences avec Royaumont, l’Hexagone et Athénor (sollicité)
Cherchant la voie d’un spectacle universellement accessible, Mylène Benoit nous entraîne dans une traversée vocale, chorégraphique et musicale destinée à tous les publics, déficients visuels, auditifs ou dits valides. Une expérience sensorielle et scénique transformatrice.
« On dirait que le soleil… ». C’est dans l’espace suspendu de cette phrase que Mylène Benoit a conçu une expérience ouverte à toutes les modalités de perception. Loin des conventions, elle nous donne la faculté de retrouver ou de réinventer l’usage de nos sens, à travers une démarche qui invite à écouter la danse, regarder la voix, sentir son corps traversé par le son… Autant de phénomènes à vivre, au cœur d’une dramaturgie qui puise sa dynamique dans l’empathie et réveille la magie de nos perceptions.